Le regard de Clervoy sur les trains de satellites de Space X

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Né en 1958 à Longeville-lès-Metz, Jean-François Clervoy est actuellement ingénieur général de l’armement, membre du corps des astronautes européens de l’ESA et détaché comme PDG de Novespace, la filiale du CNES en charge des vols paraboliques sur l’A300 Zero-G.

Ils fascinent le grand public et sont très décriés par les astronomes qui dénoncent la pollution visuelle qu’ils créent. Les trains de satellites de Space X, visibles en ce moment dans le ciel français, ne laissent personne indifférent.

L’astronaute Jean-François Clervoy a évidemment un avis sur la question : « On va multiplier par cinquante ou cent le nombre de satellites en orbite. C’est dingue ! Mais ce n’est pas le nombre qui gène, c’est la puissance de réflexion. Elon Musk s’est engagé à utiliser des matériaux peu réfléchissants et à programmer l’orientation des panneaux solaires pour éviter cette brillance. Il a aussi demandé récemment l’autorisation de descendre ses constellations à 500 km au lieu de 1 000 pour polluer mécaniquement l’espace le moins longtemps possible. Les satellites se désintégreront plus rapidement en fin de vie en rentrant dans l’atmosphère. Je fais confiance. Actuellement, les lancements sont propres. Les débris qui polluent aujourd’hui sont les satellites des années 60-70. »

Le télescope spatial Hubble célèbre son trentième anniversaire

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Il y a 30 ans, le 24 avril 1990, le télescope spatial Hubble était mis en orbite par la navette Discovery à 600 km de la Terre. Le nouveau venu s’est avéré presque aveugle en raison d’une aberration optique qui a pu être corrigé 3 ans plus tard, lors d’une des missions de maintenance prévues pour assurer le maintien en fonctionnement du télescope et modifier ses instruments. Depuis, il a contribué à révolutionner l’astrophysique et à la démocratiser en livrant de magnifiques images des objets qui parsèment l’Univers et le système solaire. 

Une vision large spectre

Les instruments de Hubble peuvent observer le Cosmos en lumière ultraviolette, visible ainsi que dans le proche infrarouge. Une capacité qui lui a permis d’offrir un large éventail de découvertes à travers des images ou des mesures en spectroscopie. Hubble a ainsi étudié notre propre système solaire en photographiant ses planètes et en offrant quelques unes des vues les plus détaillées des géantes lointaines. Et il a également sondé et caractérisé des planètes bien plus lointaines orbitant autour d’autres étoiles. Grâce à ces données, les scientifiques ont pu mieux appréhender les processus de formation des étoiles et comprendre comment elles évoluent et finalement finissent par mourir parfois en de spectaculaires explosions appelés supernovas.

Hubble a également révélé des détails complexes sur les formes, les structures et l’histoire des galaxies ainsi que sur les immenses trous noirs qui occupent le centre des plus grosses.  Observant à la limite de ses capacités, au fin fond de l’espace, le télescope a déniché certaines des premières galaxies de l’univers apparues quelques centaines de millions d’années après le Big-Bang et dernièrement le télescope a repéré l’étoile la plus lointaine jamais identifiée. Il s’agit d’une supergéante bleue surnommée Icare, qui est située à 9,3 milliards années-lumière de la Terre. L’engin s’est aussi penché sur la nature de l’énigmatique matière noire ainsi que sur la mystérieuse énergie sombre qui booste l’expansion de l’Univers.

En attente de la relève

Aujourd’hui encore, Hubble continue contribue fortement à la science en révélant de nouvelles merveilles cosmiques et en aidant à répondre aux principales questions de l’astronomie. Malgré ses innombrables succès, il commence quand même à se faire vieux… Plusieurs avaries ont ainsi marqué les dernières années du télescope qui a connu successivement une panne d’une de ses caméras ainsi que de ses gyroscopes, un équipement nécessaire à la stabilisation de l’engin et à sa visée des astres à observer. Il faut dire que Hubble n’est plus entretenu depuis 2009, date de la dernière mission humaine vers le télescope.

Aujourd’hui, le vénérable télescope fonctionne au mieux de ses capacités, mais d’autres pannes peuvent survenir à tout moment et dans quelques mois ou années il sera définitivement hors service. Son successeur, le James Webb Telescope, qui sera 100 fois plus puissant, a pris des années de retard dans son développement : il devrait être lancé en mars 2021, selon le dernier calendrier de l’agence spatiale américaine qui risque d’être encore une fois revu d’ici quelques semaines. En attendant, la Nasa croise les doigts pour qu’Hubble tienne encore quelques mois ou années…

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« Tianwen » est le nom de la future première mission chinoise d’exploration de Mars

 

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L’agence spatiale chinoise a dévoilé le nom que sa première mission d’exploration de la planète Mars, Tianwen-1, dont le lancement est prévu cette année, a rapporté l’agence de presse officielle Chine Nouvelle vendredi, au jour du 50e anniversaire du lancement du premier satellite chinois.

Le nom de la mission, Tianwen (Questions au Ciel), est tiré d’un poème de Qu Yuan dans lequel celui-ci soulève des questions sur les étoiles et d’autres corps célestes.

Un enjeu stratégique de prestige international

La Chine est devenue en 2003 le troisième pays à envoyer un homme dans l’espace à bord d’une fusée fabriquée par ses soins, après l’ancienne Union soviétique et les États-Unis, avant de réussir dix ans plus tard son premier alunissage.

La deuxième puissance économique mondiale ambitionne de devenir également une véritable puissance spatiale d’ici 2030.

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En trente ans, le télescope Hubble « nous a ouvert les yeux vers nos origines »

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  • Il y a trente ans, le télescope spatial Hubble était lancé.
  • Après quelques couacs au démarrage, il est à l’origine de nombreuses découvertes en astrophysique et a inspiré de nombreux astronomes en herbe.
  • La Cité de l’espace permettra de revivre cet anniversaire lors d’un événement 100 % digital, histoire de s’évader pendant le confinement.

Il y a trente ans, le télescope Hubble embarquait dans la soute de la navette Discovery, direction l’espace, à 600 km au-dessus du plancher des vaches. Pour nombre d’astrophysiciens, ce nouvel instrument était plein de promesses, une révolution même qui a permis de voir aux confins de l’Univers, de découvrir la galaxie la plus lointaine jamais observée, à 13,4 milliards années-lumière.

« Des découvertes majeures », pour Thierry Contini, directeur de recherche au CNRS. Pour lui qui étudie les galaxies naissantes, les milliards d’étoiles qui les composent comme la Voie lactée, Hubble est une source inépuisable d’informations. Ce vendredi, ce scientifique partagera ses connaissances sur les aventures du télescope lors d’un événement 100 % digital organisé par la Cite de l’espace et l’association d’astronomie  Ups in Space de 13 heures à 23 heures, sur les réseaux sociaux. Un moyen de s’évader en plein confinement et de montrer le rôle de la recherche fondamentale.

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Fête du Timbre 2020

Pour la première fois de son histoire, Astrophil organisait l’exposition de la Fête du Timbre en 1988.

Elle renouvelle cette expérience cette année, avec une exposition multi collections consacrée aux véhicules Peugeot.

Sur le thème de « la route des vacances », prenez le volant à bord d’un véhicule Peugeot.

AU PROGRAMME :
• Présence d’un stand de « La Poste » avec vente du timbre et oblitération 1er jour.
• Présentation de collections tous thèmes : timbres, cartes postales, documents sur les évènements spatiaux, …).
• Tombola avec tirage de bons d’achat.
• Atelier pour les jeunes : création de puzzles sous forme de timbres, coloriage, art postal (décoration d’enveloppes).
• Stand de l’association philatélique ASTROPHIL : vente des souvenirs philatéliques de la Fête du Timbre.
• Présence de trois négociants si vous désirez acquérir des timbres, des cartes postales, du matériel philatélique, …
• Présentation de véhicules anciens Peugeot 201, 304 et 404, de véhicules Peugeot neufs (collection privée et véhicules de la société Peugeot) et de maquettes de véhicules.

Pour une commande à l’association : envoyer un courrier à l’association et votre règlement (frais de port offerts).
Un cadeau est offert à partir de 10€ d’achat.

Timbre
Prix (neuf) à l’unité : 0,97€
Prix oblitéré 1er jour sur carte : 3,50€
Prix oblitéré 1er jour sur enveloppe : 3,50€

 

 

 

Bloc
Prix (neuf) à l’unité : 1,94€
Prix oblitéré 1er jour sur enveloppe : 6,00€

Affiche/Flyer

Ariane a 40 ans

Le 24 décembre 1979 était lancée pour la première fois la fusée Ariane depuis le site de Kourou (Guyane).

L’association Astrophil a reconduit la précédente exposition de 2009 en organisant, avec l’association La Marianne, sur la commune de Saint Médard en Jalles une grande exposition dédiée au lanceur Ariane et plus largement à l’espace.

Salle Georges Brassens   à   Saint Médard en Jalles
Vendredi 13 au dimanche 15 décembre, de 9h30 à 17h00

Le timbre personnalisé sera en vente au public lors de l’exposition. Un encart contenant le timbre personnalisé ainsi que le timbre de France PA52 consacré à Ariane et au salon du Bourget sera également disponible.

Remarque : les documents seront oblitérés du 24/12/2019. Sur demande, il sera possible d’obtenir l’oblitération du 14/12, date de l’inauguration de l’exposition.

Pour une commande d’un collectionneur non adhérent à l’association : bon de commande.

Pour consulter le flyer : Exposition.

DOCUMENTS PROPOSES (en plus du timbre personnalisé)
  Carte postale                      Encart (A4)

Exposition interrégionale GPCA-GAPS (SENS) – Challenge Philespace

L’exposition se déroule à SENS, à l’occasion du 46ème Congrès Philatéliques Champagne Ardennes et de sa manifestation sur « le premier pas sur la Lune ». Organisée par le Club philatélique sénonais, de 9h à 18h. Entrée libre. Salle des fêtes de Sens, 58 rue René Binet

ASTROPHIL sera présent à l’occasion de la manifestation philatélique, en proposant aux visiteurs une exposition philatélique et non-philatélique, avec des maquettes, des vidéos, … Des documents philatéliques réalisés par le club seront également proposés au public.

CHALLENGE PHILESPACE

Le Challenge PHILESPACE 2019 est matérialisé par l’attribution d’une médaille. Ce challenge est réservé à tout exposant en Départemental ou Régional dans le classe AST (Astroplatélie).

Astrophil, propriétaire et organisateur du challenge, demandera aux jurés de la classe AST, qui doivent évaluer les collections exposées, de décerner le prix spécial « PHILESPACE »  sur les critères identiques au jugement des collections AST  en apportant toutefois une attention particulière sur la connaissance « spatiale » de l’exposant et sur le développement du sujet.

Le Challenge ne  peut être accordé qu’une seule fois dans la vie d’une collection.

 

50 ans premier pas de l’Homme sur la lune

Création et mise en page du timbre et du cachet d’oblitération : Alice BIGOT – Création Alice Bigot d’après © ROGER-VIOLLET – © NASA

Apollo11 est une mission du programme spatial américain Apollo au cours de laquelle, pour la première fois, des hommes se sont posés sur la Lune, le 20 juillet 1969.

L’image de l’astronaute Buzz Aldrin saluant le drapeau américain  est sans conteste l’une des plus iconiques du XXème siècle.

Le timbre sera vendu en avant-première le vendredi 19 juillet, le samedi 20 juillet et le dimanche 21 juillet à  TOULOUSE (31),  Cité de l’espace (vendredi 19 et samedi 20 de 10H00 à 17H30 et dimanche 21 de 14H00 à 18H00).

Le club ASTROPHIL (en partenariat avec le club La Marianne) a demandé et obtenu le premier jour du timbre. Le club sera présent les trois jours à la Cité de l’espace dans le bâtiment d’accueil. La Poste sera également présente .

Pour une commande, télécharger le bon de commande.

Pour consulter le programme officiel de la Cité de l’espace.

 

MARS : Mission SEIS

L’objectif scientifique de la mission InSight est de comprendre comment s’est formée Mars et comment elle a évolué (Crédits : NASA)

Grâce à la technologie française. A bord de la mission américaine InSight (INterior exploration using Seismic Investigations Geodesy and Heat Transport), qui doit décoller le 5 mai de la base aérienne de Vanderberg en Californie, le sismomètre SEIS (Seismic experiment for interior structure) va analyser, peu de temps après l’atterrissage d’InSight le 26 novembre sur Mars, les séismes, les impacts météoritiques ainsi que l’effet de marée produit par Phobos, pour savoir ce que cache l’intérieur de la planète rouge. Selon le CNES, le maître d’oeuvre du sismomètre, SEIS est « l’instrument central de la mission » d’InSight.
La réalisation de cet instrument a été confié à la PME française Sodern, filiale d’ArianeGroup.D’après le CNESS, le programme SEIS est « la carte de visite de ce que sait faire de mieux la France dans le spatial ».

https://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/aeronautique-defense

Fin de la station spatiale Tiangong-1 le 2 avril 2018

La station spatiale chinoise Tiangong-1 a été globalement détruite lors de sa rentrée dans l’atmosphère lundi vers 00h15 GMT au-dessus de la partie centrale du Pacifique sud, a annoncé le CMSEO, le bureau chinois chargé de la conception des vols spatiaux habités.

Le laboratoire spatial avait été placé en orbite en septembre 2011. Il devait effectuer une rentrée contrôlée dans l’atmosphère terrestre, mais a cessé de fonctionner en mars 2016, suscitant des inquiétudes quant à sa « chute ».

Comme prévu par le Bureau d’Étude des Débris Spatiaux de l’ESA, l’événement n’a provoqué aucun dommage matériel ou humain. Le CMSEO a en effet confirmé que « la plupart des équipements ont été détruits lors de la phase de rentrée dans l’atmosphère ». Malgré une masse de 8 tonnes et des dimensions de 10.4 m sur 3.4 m, le risque de danger était extrêmement faible (1 chance sur 700 millions). En effet, de nombreux débris chutent fréquemment sur Terre, et certains sont bien plus gros que les morceaux de la station spatiale chinoise.

graphe altitude tiangong1