Soirée conférence/échanges 2 juillet 2018

Le club Astrophil (avec la participation du club La Marianne) vous propose d’organiser une soirée ouverte à tous les adhérents et leurs amis. Cette soirée est consacrée aux scientifiques allemands qui ont travaillé sur le programme V2 et leur accueil en France en 1948 pour travailler sur le programme Ariane : projection d’un film, suivi d’une discussion libre. Apportez vos enveloppes en double, nous consacrerons 1/2h aux échanges.

DATE : lundi 2 juillet 2018

LIEU : Complexe sportif ArianeGroup Issac (rue du général Niox), salle de formation. Entrée par le tourniquet  qui sera débrayé. Plan d’accès sur le site « http://philatelie-lamarianne.saintmedardasso.fr », rubrique « Venir nous retrouver ». Contact : Luc Delmon au 06 30 32 99 70.

HORAIRE : Début 17h30. Fin vers 19H00. Un apéritif ‘dinatoire’ sera ensuite proposé aux participants.

Afin de nous permettre une bonne organisation, nous vous remercions de nous faire savoir si vous y participerez. Pour cela, envoyer un mail à lentin.alain@neuf.fr avant le lundi 25 juin. La soirée sera annulée s’il y a moins de 5 participants (les adhérents qui se seraient inscrits seront informés de l’annulation).

REPORT DU VOL ARIANE 5 VA243

La société Arianespace informe :

Le lancement prévu en mai prochain depuis le Centre Spatial Guyanais de Kourou est reporté sine die.

« En raison de vérifications techniques sur le satellite GSAT-11 de l’ISRO (agence spatiale indienne) à faire depuis le centre de l’ISAC à Bangalore, le vol Ariane 5 VA243 initialement prévu le 25 mai 2018 est reporté » indique Arianespace.
« De ce fait, le prochain lancement d’Arianespace sera donc VA244, en juillet 2018. Il emportera à bord d’une Ariane 5 quatre nouveaux satellites de la constellation Galileo pour la Commission européenne et l’Agence Spatiale Européenne (ESA) ».
La société qui commercialise le lanceur Ariane précise que « le lancement du satellite Azerspace-2/Intelsat-38 pour Azercosmos et Instelsat est reprogrammé à l’été 2018, après VA244 ».

MARS : Mission SEIS

L’objectif scientifique de la mission InSight est de comprendre comment s’est formée Mars et comment elle a évolué (Crédits : NASA)

Grâce à la technologie française. A bord de la mission américaine InSight (INterior exploration using Seismic Investigations Geodesy and Heat Transport), qui doit décoller le 5 mai de la base aérienne de Vanderberg en Californie, le sismomètre SEIS (Seismic experiment for interior structure) va analyser, peu de temps après l’atterrissage d’InSight le 26 novembre sur Mars, les séismes, les impacts météoritiques ainsi que l’effet de marée produit par Phobos, pour savoir ce que cache l’intérieur de la planète rouge. Selon le CNES, le maître d’oeuvre du sismomètre, SEIS est « l’instrument central de la mission » d’InSight.
La réalisation de cet instrument a été confié à la PME française Sodern, filiale d’ArianeGroup.D’après le CNESS, le programme SEIS est « la carte de visite de ce que sait faire de mieux la France dans le spatial ».

https://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/aeronautique-defense

Fin de la station spatiale Tiangong-1 le 2 avril 2018

La station spatiale chinoise Tiangong-1 a été globalement détruite lors de sa rentrée dans l’atmosphère lundi vers 00h15 GMT au-dessus de la partie centrale du Pacifique sud, a annoncé le CMSEO, le bureau chinois chargé de la conception des vols spatiaux habités.

Le laboratoire spatial avait été placé en orbite en septembre 2011. Il devait effectuer une rentrée contrôlée dans l’atmosphère terrestre, mais a cessé de fonctionner en mars 2016, suscitant des inquiétudes quant à sa « chute ».

Comme prévu par le Bureau d’Étude des Débris Spatiaux de l’ESA, l’événement n’a provoqué aucun dommage matériel ou humain. Le CMSEO a en effet confirmé que « la plupart des équipements ont été détruits lors de la phase de rentrée dans l’atmosphère ». Malgré une masse de 8 tonnes et des dimensions de 10.4 m sur 3.4 m, le risque de danger était extrêmement faible (1 chance sur 700 millions). En effet, de nombreux débris chutent fréquemment sur Terre, et certains sont bien plus gros que les morceaux de la station spatiale chinoise.

graphe altitude tiangong1